Ce blog peut être utile aux Toulousaines et aux Toulousains actuels ou futurs puisqu’il est le reflet au travers de mes espoirs, de mes humeurs, voire de ma hargne, de ce que je puis percevoir du Monde depuis Lacroix-Falgarde via ma petite fenêtre donnant sur la Blogosphère.
Lycée Jules Ferry
Ce billet était initialement sur le site Nomao (dont la masquotte était à l'époque l'abeille, d'où le nom étrange donnée à la catégorie où se trouve ce billet).
Resté en friche depuis son transfert forcé et précipité sur ce blog, je me dois de le mettre au standard de ce blog sachant que vous êtes de plus en plus nombreux à venir le lire. E-réputation oblige !
C'est en partie en ce lieu que j'ai usé mes fonds de culottes en étant interne et que j'ai fait ma préparation pour entrer à l'ENSAM.
Je me souviens d'un Surveillant Général surnommé Rouletabille à cause d'une excroissance évocatrice sur l'une de ses joues qu'il finit par se faire ôter, mais le surnom lui est resté. Il nous distribuait les bons de sortie pour regagner nos foyers respectifs le week-end et dont nous nous passions allègrement pendant la semaine, car - Chut ! - nous faisions le mur...

Autre privilège, nos après-midis de libre ou lors de nos colles du Week-end nous allions nous promener dans les jardins du château...
C'est à l'intérieur de ces murs que je préparais le Bac et que j'ai vécu mai 68 (j'ai ainsi pu vérifier que Versailles n'était pas à un jet de pavé de Paris).
Jacques Le Bris
Lycée Francisque Sarcey
Diagora
Gijon
Bonjour,
J'ai vécu à peu près 6 mois dans ce port où se trouvent de nombreux pubs. Hé oui, en regardant en face en droite ligne, c'est... l'Irlande !
Je me souviens que ma femme m'avait envoyé quérir à l'épicerie du coin de simples courgettes. Elle avait d'ailleurs un léger sourire.
Quelques temps après je revins tout penaud à l'appartement, car bredouille. Non pas parce que la courgette était inconnue dans cette ville, mais tout simplement parce que le mot qui caractérise ce légume s'avère pour moi imprononçable en Espagnol... ;-))
La particularité de cette région est qu'elle est très verte, car comme en Normandie elle est face au Nord. Il y pleut donc souvent, d'autant que les montagnes dans le prolongement des Pyrénées y stoppent les nuages.
Le cidre y est roi et coule à flot dans les bodegas. Les serveurs le déversent dans les verres en longue cascade de façon à le faire mousser comme la bière.
Cette région au rude climat a été épargnée par l'invasion arabe et a donc été le point de départ de la Reconquista.
Je suis arrivé dans cette ville en venant de Burgos par la route. Le passage des montagnes se fait au pas dans la brume la plus épaisse et une visibilité quasiment nulle.
Pas étonnant dans ces conditions que les envahisseurs ne s'y soient pas aventurés...
Comme vous êtes intéressés par cette ville, voici ce que les Twittos Gijonais gazouillent et ce que la Twittosphère en dit :
Vous pouvez ainsi contacter quelque autoctone de votre choix afin d'obtenir une réponse à votre quête et plus si affinité...
Pour des nouvelles fraîches, il faut faire confiance à Noticias Gijòn :
Cordialement
Jacques Le Bris
P S : Cet article porte une date antérieure à la création de ce blog, car il résulte d'un transfert en provenance d'une ancienne version de Nomao.