Le tweet est devenu une arme de destruction massive
Bonjour,
Ce tweet est le résultat d'un piratage. Pris pour réel puisqu'il a été émis par le twitto d'une agence aussi sérieuse que l'AP, il a obtenu un résultat immédiat et massif telle une bombe sur les taux de change de la Bourse de New-York.
Quand on dit immédiat, c'est dans la seconde qui a suivi l'émission du tweet, exemple : l'activité sur l'indice Dow
Jones.
Avec un impact instantané sur l'indice Dow Jones.
Voici un interview expliquant le phénomène.
Inutile de dire que ce fut l'émoi parmi les Investisseurs. Nombreux parmi eux ont dû perdre de l'argent suite à ce petit incident...
Les victimes sont certainement pleines de rage, surtout après une rumeur aussi grotesque qu'imprévisible, bref un coup
imparable.
Maintenant, pour Goldman Sachs qui d'habitude crée la rumeur pour ensuite exploiter l'effet du petit mascaret consécutif, dans ce cas de figure, ce fut l'exploitation d'un petit tsunami boursier.
Combien de millions de Dollars a gagné Goldman Sachs dans cette opération éclair grâce à son market manipulator fonctionnant à la nanoseconde près ?
D'ailleurs, on peut se demander si ce n'est pas Goldman Sachs elle-même qui aurait demandé à un Maître Hacker de procéder à
cette attaque.
Afin d'estimer le ROI de cette opération, on peut se demander aussi combien elle a payé ce Hacker ?
Evidemment Twitter est une victime collatérale et nous aussi en tant que simples Twittos : une double authentification sera bientôt la nouvelle norme.
Quant au compte AP (Associated Press) après avoir été piraté, a été suspendu... Etait-ce le véritable but de l'attaque ?
Restons vigilants !
Cordialement
Jacques Le Bris
Sources :
- The Wall Street Journal http://online.wsj.com/article/SB10001424127887323735604578441201605193488.html
Breaking: Two Explosions in the White House and Barack Obama is injured
— The Associated Press (@AP) 23 avril 2013
P. S. :
The @ap Twitter account, which was suspended after being hacked, has been secured and is back up. Thank you for your patience. - @ericcarvin
— The Associated Press (@AP) 24 avril 2013