Si on chantait

Bonjour,

Les Spéculateurs, enfin ceux qui ont survécu à la crise, recommencent à chanter comme les cigales avec le printemps qui pointe à l'horizon (validant de ce fait au passage mon hypothèse émise il y a quelques jours).
Il suffit de voir les annonceurs qui accompagnent le mouvement en multipliant leur publicité pour attirer les gogos prêts à se faire plumer à la Bourse.
Tant pis pour tous ceux qui dansent devant leur buffet ; ils n'ont qu'à penser à tous ceux qui n'ont plus de toit pour l'abriter.

Alors, pour les fourmis que nous sommes il ne nous reste plus qu'à appliquer la méthode Coué.
Nous pouvons pour les imiter ressortir une très vieille chanson ; celle qui a clôturé en 1934 en France la crise de 1929 à laquelle les Economistes se référaient le plus souvent pour décrire ou évaluer le phénomène en cours.
Deviendra-t-elle le tube de l'été ? C'est à vous d'en décider.

Profitez-en ! Avant que nous ne puissions plus l'écouter ; des éventuels "ayants droit" ne vont pas tarder à se manifester. Business oblige !

Il n'y a plus maintenant qu'à attendre la prochaine crise en restant bien à l'abri ou en tentant de s'y mettre.
En France, pour en éviter les conséquences fâcheuses, c'est pourtant simple : il suffit d'être Fonctionnaire ou assimilé et de placer notre épargne dans le Livret A.
Nous connaissons la chanson !
A nous de ne pas succomber à l'avenir, ni aux chants des sirènes, ni au chant du Départ !

Cordialement
Jacques Le Bris